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Le président allemand appelle en Espagne à ne pas oublier le "crime" commis à Guernica
Le président allemand a appelé mercredi à Madrid à ne pas oublier le "crime" commis par les Allemands à Guernica, quelques heures après s'être rendu devant le célèbre tableau de Picasso, et à l'avant-veille d'une visite historique dans la ville basque bombardée par les nazis en 1937.
"Il est très important pour moi --et je m'adresse délibérément à mes compatriotes en Allemagne-- que nous n'oubliions pas ce qui s'est passé à l'époque", a déclaré Frank-Walter Steinmeier mercredi soir lors d'un dîner en présence notamment du roi d'Espagne Felipe VI, au premier jour d'une visite d'Etat de trois jours.
"Ce crime a été commis par des Allemands. Guernica est un rappel --le rappel qu'il faut lutter pour la paix, la liberté et la préservation des droits de l'homme", a-t-il ajouté, évoquant "la lourde responsabilité" des Allemands.
Quelques heures auparavant, le chef de l'Etat allemand, accompagné de sa femme et d'une délégation, s'était rendu au musée Reina Sofia, où est accrochée "Guernica", l'imposante toile de Picasso devenue un symbole universel de la dénonciation de la guerre et de la souffrance des civils, a constaté un journaliste de l'AFP.
La semaine dernière, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'était rendu avec le Premier ministre Pedro Sánchez au même endroit, après avoir comparé par le passé les atrocités vécues par les habitants de la ville il y a près de 90 ans avec l'invasion russe de son pays depuis 2022.
Frank-Walter Steinmeier sera vendredi le premier président allemand de l'histoire à se rendre à Guernica, petite ville du pays Basque espagnol (nord) bombardée en 1937 par l'aviation nazie en soutien aux troupes de Franco durant la Guerre civile espagnole.
Il sera à cette occasion accompagné du roi Felipe VI pour rendre hommage aux victimes de cette tragédie.
Il y a près de 30 ans, en 1997, le président allemand d'alors, Roman Herzog, avait déjà reconnu "l'implication coupable" des forces allemandes dans ce bombardement et demandé pardon au peuple espagnol.
Le déplacement de Frank-Walter Steinmeier en Espagne intervient quelques jours après le 50e anniversaire de la mort de Franco, le 20 novembre 1975, après plusieurs décennies de dictature (1939-1975).
S'exprimant devant le Parlement espagnol, Frank-Walter Steinmeier a aussi fustigé mercredi "les mouvements extrémistes et populistes qui s'affirment dans nos sociétés" et qui "s'attaquent aux piliers sur lesquels reposent les démocraties libérales".
Jeudi, il doit s'entretenir avec le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez, après avoir assisté à un forum économique germano-espagnol. Il doit également remettre une décoration à l'ancien joueur de la sélection allemande et du Real Madrid, le néo-retraité Toni Kroos, au stade Santiago Bernabéu.
O.Gutierrez--AT