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La course au pouvoir est lancée au Royaume-Uni, l'hypothèse "BoJo" se renforce
Après la démission de la Première ministre britannique Liz Truss, une nouvelle course à Downing Street s'est amorcée vendredi, avec de probables velléités de retour de Boris Johnson, qui enregistre ses premiers soutiens mais aussi une opposition féroce.
Aucun candidat ne s'est encore publiquement lancé pour ce scrutin interne au Parti conservateur au pouvoir, mais la possible candidature de Boris Johnson, à la Une d'une large partie de la presse vendredi, prend corps à mesure que les déclarations de soutien se multiplient.
Populaire et respecté auprès de la base du parti, le ministre de la Défense Ben Wallace a indiqué vendredi qu'il penchait pour l'ex-Premier ministre, tout en se laissant la place de se raviser. "Il reste encore plusieurs jours, nous verrons ce qui se passe", a-t-il déclaré à la télévision.
Le ministre des Entreprises Jacob Rees-Mogg est devenu vendredi le premier membre du gouvernement actuel à soutenir Boris Johnson en lançant sur Twitter le mot d'ordre #BORISorBUST, "BORISouLAFAILLITE".
Trois mois après son départ dû à une succession de scandales, les proches de Boris Johnson mettent en avant la légitimité qu'il tire de son triomphe électoral fin 2019.
Ses opposants affutent leur lames, et rappellent la succession de mensonges et d'affaires embarrassantes des trois ans de son mandat, qui ont laissé des traces profondes. Certains députés conservateurs avertissent même qu'ils démissionneront si Johnson revient.
- Processus accéléré -
"Il a eu sa chance", a estimé à l'inverse sur les ondes de la BBC David Lidington, ancien membre du gouvernement de Theresa May.
Vu par le camp Johnson comme un traître qui a précipité la chute de Johnson, Rishi Sunak était le candidat préféré des députés conservateurs, avant d'être finalement écarté au profit de Liz Truss par les adhérents.
L'actuelle ministre des Relations avec le Parlement, Penny Mordaunt, coqueluche des militants tories qui était arrivée troisième, fait également figure de candidate très sérieuse.
Quel que soit le prochain Premier ministre, il prendra la tête d'un parti miné par les divisions face à une opposition au plus haut dans les sondages, mais surtout d'un pays plongé dans une grave crise du coût de la vie.
L'inflation dépasse les 10%, au plus haut depuis 40 ans, dans un contexte social tendu au Royaume-Uni où les grèves se sont multipliées ces derniers mois, notamment dans les transports.
Le futur chef du gouvernement sera le cinquième depuis le référendum du Brexit en 2016 et le troisième en deux mois. Un rythme qui, ont raillé certains observateurs sur Twitter, permettrait au roi Charles de battre le record de sa mère Elizabeth II --15 Premiers ministres-- d'ici l'été 2024.
- Impopularité -
Afin qu'un nouveau Premier ministre soit désigné d'ici vendredi 28 octobre, un processus accéléré a été mis en place par le Parti conservateur, au pouvoir depuis douze ans.
Le seuil des 100 parrainages limite ainsi à trois au maximum le nombre des candidats, le parti comptant 357 députés à la Chambre des Communes.
Ensuite, les députés devront soit se mettre d'accord sur deux noms que les 170.000 adhérents du parti devront départager par un vote en ligne d'ici au 28 octobre, soit sur le nom d'une seule personne qui entrerait alors immédiatement à Downing Street. En attendant, Liz Truss reste au pouvoir.
Arrivée le 6 septembre à son poste, Liz Truss a été emportée par une profonde crise de confiance après des revirements pour calmer la tempête sur les marchés déclenchée par les annonces budgétaires de son gouvernement.
Elle a battu des records d'impopularité et décroche le titre peu enviable de Première ministre la plus éphémère que le Royaume-Uni ait jamais connu.
Ch.Campbell--AT