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Royaume-Uni: premier duel avec l'opposition pour Liz Truss
Désormais Première ministre britannique, Liz Truss entre dans le vif du sujet mercredi en affrontant pour la première fois l'opposition au Parlement, où elle est très attendue sur l'envolée du coût de la vie.
Après deux mois de campagne pendant lesquels elle a martelé préférer les baisses d'impôts massives à la redistribution, la conservatrice âgée de 47 ans s'est résolue, face à l'ampleur de la flambée des factures d'énergie, à promettre d'agir vite.
"Nous pouvons sortir de la tempête", a assuré la nouvelle dirigeante dans son premier discours, prononcé mardi devant le 10 Downing Street, une formule reprise mercredi en Une de nombreux journaux britanniques.
Liz Truss a promis des mesures "cette semaine" alors que la récession et une inflation plus vue depuis des décennies menacent mais est restée muette sur leur forme concrète, la presse évoquant l'annonce jeudi d'un gel des factures d'énergie.
Le baptême du feu aura lieu à la Chambre des Communes. Après avoir réuni un premier conseil des ministres à Downing Street mercredi matin, elle affrontera le leader travailliste Keir Starmer dans la traditionnelle séance de questions au Premier ministre à midi heures locales (11H00 GMT).
L'exercice hebdomadaire donne souvent lieu à des passes d'armes acharnées entre le chef du gouvernement et les députés de l'opposition.
Ce sera l'occasion pour Liz Truss de démontrer ses capacités d'oratrice, parfois mises en doute, et de tester le niveau de soutien de sa majorité. Beaucoup d'élus auraient préféré voir son adversaire Rishi Sunak, ex-ministre de l'Economie, accéder à Downing Street.
"Le parti conservateur, l'un des plus grands partis du monde, continuera à être uni et à s'assurer que l'on se concentre sur la mise en place de notre projet pour relever les défis auxquels nous faisons face", a voulu rassurer sur Sky News Thérèse Coffey, nouvelle Première ministre adjointe et amie de longue date de Liz Truss.
- Grèves -
Si le Premier ministre sortant Boris Johnson a appelé les Conservateurs à "la soutenir à 100%", rassembler un parti divisé et au pouvoir depuis 12 ans n'est pas un pari gagné d'avance pour l'ex-ministre des Affaires étrangères à deux ans de législatives pour lesquelles les travaillistes sont donnés largement gagnants.
Mais la crise économique, principal sujet d'inquiétude des Britanniques, reste le défi majeur de Liz Truss, dont les résultats sur ce front seront cruciaux pour déterminer son avenir politique.
Les factures d'énergie doivent augmenter de 80% à partir d'octobre et plusieurs mouvements de grève sont de nouveau prévus dans les prochaines semaines, dans de nombreux secteurs.
A peine nommée cheffe du gouvernement lors d'une audience avec la reine Elizabeth II en Ecosse, Liz Truss a décliné mardi ses "trois premières priorités": "faire croître l'économie", s'attaquer à "la crise énergétique causée par la guerre de (Vladimir) Poutine" et aux problèmes du système de santé publique.
Très libérale sur le plan économique, la quatrième cheffe du gouvernement depuis le référendum sur le Brexit en 2016 avait affirmé vouloir gouverner "comme une conservatrice". Elle a encore rappelé sa volonté de baisser les impôts et de mener des réformes pour "récompenser ceux qui travaillent dur".
Après avoir fait une campagne très à droite, Liz Truss s'est entouré de fidèles dans son cabinet, dont la composition a été annoncée mardi soir, à commencer par son ministre des Finances, Kwasi Kwarteng, 47 ans, jusqu'ici chargé des Entreprises et de l'Energie et partisan comme elle d'un Etat peu interventionniste et d'une économie de marché.
Pour la première fois, les trois principaux postes du cabinet seront occupés par des élus issus de la diversité - mais passés par l'enseignement privé classique de l'élite britannique.
Outre le Chancelier de l'Echiquier, le ministre des Affaires étrangères James Cleverly a ses racines maternelles en Sierra Leone, et la ministre de l'Intérieur, Suella Braverman, est d'origine indienne.
H.Romero--AT