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La Thaïlande rejette la demande du Cambodge pour des pourparlers en terrain neutre
La Thaïlande a rejeté mardi la demande du Cambodge d'organiser en terrain neutre des pourparlers destinés à régler leur conflit frontalier, qui a fait plus de 40 morts et des centaines de milliers de déplacés en deux semaines.
Les deux voisins d'Asie du Sud-Est avaient convenu lundi de se mettre autour de la table à partir de mercredi, mais le choix du lieu reste une source de désaccord.
Désormais menacées, les discussions doivent se faire dans le cadre d'un comité frontalier pré-existant, dont les réunions se tiennent alternativement dans chaque pays.
Le Cambodge ayant accueilli la dernière, l'organisation en revient cette fois à la Thaïlande, qui a proposé la province frontalière de Chanthaburi. Une option dont ne veut pas Phnom Penh.
"Pour des raisons de sécurité liées aux combats en cours le long de la frontière, cette réunion devrait se tenir dans un lieu sûr et neutre", a écrit le ministre cambodgien de la Défense, Tea Seiha, dans une lettre adressée à son homologue thaïlandais, consultée mardi par l'AFP.
La Malaisie, qui assure la présidence tournante de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean), a donné son accord pour que les deux parties se retrouvent à Kuala Lumpur, a-t-il précisé.
Mais la Thaïlande tient à ce que les négociations se déroulent sur son sol, dans la province de Chanthaburi, où il n'y a "quasiment pas de combats" à l'heure actuelle, a assuré le ministre de la Défense, Nattaphon Narkphanit.
"Nous confirmons que la réunion se déroulera à Chanthaburi et garantissons que Chanthaburi est sûre", a réaffirmé peu après le porte-parole de son ministère, Surasant Kongsiri.
Le maintien de ce lieu pourrait-il remettre en cause la tenue des pourparlers, amenés à durer plusieurs jours? "Cela dépend du Cambodge", a-t-il répondu. "La Thaïlande a une position ferme et des arguments clairs".
- "Situation en main" -
Un premier épisode d'affrontements en juillet entre la Thaïlande et le Cambodge avait fait 43 morts et environ 300.000 déplacés en cinq jours avant qu'une trêve ne soit conclue.
Les deux pays avaient signé un accord de cessez-le-feu fin octobre à Kuala Lumpur, sous l'égide de Donald Trump, mais il a été suspendu quelques semaines plus tard par Bangkok après que plusieurs de ses soldats ont été blessés dans l'explosion d'une mine à la frontière.
Le ministre thaïlandais des Affaires étrangères Sihasak Phuangketkeow a estimé lundi que cet accord avait été "précipité" à l'occasion d'un déplacement en Asie du président américain, qui rêve du prix Nobel de la paix.
"Les États‑Unis voulaient que la déclaration soit signée à temps pour la visite du président Trump", a déclaré le chef de la diplomatie thaïlandaise. "Parfois, il faut vraiment s'asseoir et débattre des choses en profondeur".
Après avoir récemment échangé par téléphone avec les Premiers ministres thaïlandais et cambodgiens pour arracher une trêve, sans succès, Donald Trump a de nouveau évoqué le sujet lundi.
"La Thaïlande commence à rentrer dans le rang", a-t-il lancé devant des journalistes depuis sa résidence de Mar-a-Lago. "Ils ont commencé avec le Cambodge, puis ça a repris. Mais je pense que nous avons la situation plutôt bien en main pour que ça s'arrête".
Selon les derniers bilans officiels, au moins 44 personnes ont été tuées -- 23 côté thaïlandais, 21 côté cambodgien -- depuis la reprise des hostilités, le 7 décembre, et plus de 900.000 habitants des régions frontalières ont été contraints d'évacuer de part et d'autre.
Le conflit trouve son origine dans un différend territorial sur le tracé de la frontière de 800 kilomètres entre les deux pays, effectué pendant la période coloniale française.
burs-sdu/alv
R.Garcia--AT