-
Sécheresse en Iran: les réservoirs d'eau alimentant la capitale presque à sec
-
L'Hérault sort de la vigilance orange crues, épisode neigeux attendu en Ardèche et dans la Drôme
-
La grippe continue à grimper, le pic probablement imminent
-
L'essayiste Rokhaya Diallo dénonce une caricature jugée "raciste" de Charlie Hebdo
-
Trump s'en prend avec une violence renouvelée aux "late shows" et aux chaînes de télé
-
Wall Street stable avant Noël
-
La sortie du jeu vidéo James Bond "007 First Light" repoussée de deux mois
-
Cyberattaque contre La Poste: la situation s'améliore à la veille de Noël
-
Seul étranger exploitant le pétrole vénézuélien, Chevron échappe au bras de fer Washington-Caracas
-
L'Algérie adopte une loi criminalisant la colonisation française
-
Brésil: première sortie de prison pour Bolsonaro, en vue d'une opération à Noël
-
Dans un Venezuela sous menace américaine, s'évader pour contrer l'angoisse
-
La Bourse de Paris termine sans changement, atone avant Noël
-
Bethléem renoue avec l'esprit de Noël à la faveur de la trêve à Gaza
-
Aux Etats-Unis, l'angoisse des Afghans après le meurtre d'une militaire
-
Avec l'euro, la crainte de la vie chère dans les campagnes bulgares déshéritées
-
A Damas, les chrétiens célèbrent Noël sous haute sécurité
-
Prisonniers en Ukraine, deux soldats nord-coréens rêvent d'une "nouvelle vie" au Sud
-
Russie: deux policiers tués par un engin explosif à Moscou
-
Brandt: un industriel propose de sauver 150 emplois sur le site d'Orléans
-
Jamais sans mes vaches? Comment faire un Salon de l'agriculture en pleine crise sanitaire
-
Sanction américaine: Macron et la classe politique derrière Breton, sauf au RN divisé
-
Régulation de la tech: Washington sanctionne des Européens, l'Europe s'alarme
-
Japon: après les attaques d'ours, leur viande s'invite dans des restaurants
-
Thierry Breton, l'ancien commissaire européen devenu paria aux Etats-Unis
-
Brandt: un projet de reprise prévoit de sauver 150 emplois à Orléans
-
Rome impose à Meta des mesures permettant l'arrivée sur WhatsApp d'autres IA
-
L'Hérault encore sous l'eau, un épisode neigeux attendu en Ardèche et dans la Drôme
-
Turquie: la boîte noire de l'avion libyen accidenté retrouvée
-
Ukraine: Washington propose un gel du front, les questions territoriales en suspens
-
Mobilisation agricole: jour de réveillon de Noël sur les barrages du Sud-Ouest
-
Le président du Salvador menace de libérer tous les prisonniers de sa méga-prison
-
La Bourse de Paris atone, dans des volumes d'échanges faméliques à la veille de Noël
-
BP accélère sa révolution en cédant une part majoritaire de sa filiale Castrol
-
Coup de pouce de l'UE à la filière du plastique recyclé
-
L'Inde met en orbite son satellite le plus lourd
-
Murree, la brasserie historique du Pakistan, se réjouit d'avoir obtenu une licence d'exportation
-
"Stranger Things" tire sa révérence: 5 choses à savoir sur la série phénomène
-
La cyberattaque contre La Poste perd en intensité à deux jours de Noël
-
Fin de la vigilance rouge crues dans l'Hérault, un épisode neigeux attendu en Ardèche et dans la Drôme
-
Sanofi annonce l'acquisition du fabricant de vaccins américain Dynavax
-
Régulation de la tech: Washington sanctionne des Européens, dont Thierry Breton
-
Appels à évacuer à Los Angeles face au risque d'inondations pour Noël
-
Caraïbes: les récifs coralliens réduits de moitié depuis 1980, selon un rapport
-
CAN-2025: Côte d'Ivoire, les Eléphants marchent sur des oeufs
-
Aux temples d'Angkor, la "peur" du conflit avec la Thaïlande fait chuter la fréquentation
-
NBA: Wembanyama et les Spurs domptent à nouveau le Thunder
-
Le Parlement algérien vote sur un texte qualifiant la colonisation française de "crime d'Etat"
-
CAN-2025: la Tunisie s'impose 3-1 face à l'Ouganda pour son entrée en lice
-
Wall Street finalement convaincue par la croissance américaine
Brésil : Lula ému aux larmes lors de la certification de son élection
Très ému, Luiz Inacio Lula da Silva a fondu en larmes lundi après avoir reçu la certification de son élection pour un troisième mandat de président du Brésil, avant son investiture le 1er janvier.
"Bien plus que la remise de certificat de président élu, c'est la célébration de la véritable démocratie", a déclaré Lula, 77 ans, entre deux sanglots, au cours de la cérémonie officielle au Tribunal supérieur électoral (TSE), à Brasilia.
L'ancien syndicaliste, qui a déjà gouverné le Brésil de 2003 à 2010, a battu au second tour, le 30 octobre, le chef de l'Etat sortant d'extrême droite Jair Bolsonaro, qui n'a cessé de critiquer avant le scrutin le système d'urnes électroniques en vigueur depuis 1996 et n'a jamais explicitement reconnu sa défaite.
"Peu de fois dans l'histoire récente de notre pays, la démocratie n'a été autant menacée", a lancé Lula dans son discours, après avoir reçu son certificat des mains du président du TSE, Alexandre de Moraes.
Au début de son allocution, le président élu a dû s'interrompre de longues secondes, submergé par l'émotion.
Acclamé par les autorités présentes, l'ancien tourneur-fraiseur a notamment rappelé la certification de sa première élection à la présidence, fin 2002, quand le peuple brésilien avait eu l'"audace" de choisir un ex-ouvrier pour occuper le poste suprême.
"Je n'ai pas de diplôme universitaire, mon premier certificat c'est celui de président de ce pays", avait déclaré à l'époque Lula, ému aux larmes comme vingt ans plus tard.
La remise de ce certificat met officiellement fin au processus électoral.
Alexandre de Moraes, qui a été la cible de nombreuses attaques de bolsonaristes en amont du scrutin, s'est félicité du fait que la justice électorale ait "su garantir la stabilité démocratique, combattant les attaques intenses et criminelles contre les piliers de notre Constitution".
Après la défaite de Jair Bolsonaro, ses partisans ont manifesté par milliers des jours durant devant des casernes de l'armée, réclamant une intervention des militaires pour empêcher le retour de Lula au pouvoir.
Vendredi, le président d'extrême droite s'est exprimé pour la première fois après 40 jours de silence et a déclaré que la défaite lui avait fait "mal à l'âme". Il n'a jamais félicité Lula pour sa victoire, mais a seulement autorisé le processus de transition du pouvoir.
W.Moreno--AT