-
Les boycotts jettent une ombre sur l'Eurovision 2026
-
Trump présente une vision résolument nationaliste pour l'Amérique dans le monde
-
Wall Street évolue en hausse, satisfaite de l'inflation américaine pour septembre
-
Egyptologie: une découverte exceptionnelle dans la nécropole de Tanis
-
Finale du Grand Prix: Chiba en tête après le libre, devant Liu
-
Wall Street ouvre en hausse, attend l'inflation américaine pour septembre
-
La pluie de retour au Sri Lanka et en Indonésie, déjà ravagés par les intempéries
-
Netflix en passe de racheter Warner Bros Discovery pour créer un géant du divertissement
-
Retraites et travail: la conférence sociale percutée par le débat budgétaire
-
Netflix va racheter Warner Bros Discovery pour près de 83 milliards de dollars
-
De fortes vagues attendues dans l'ouest, trois départements en vigilance orange samedi
-
Zone euro: la croissance révisée à la hausse à 0,3% au 3e trimestre, selon Eurostat
-
Conflit dans l'est de la RDC: accord signé, mise en oeuvre complexe
-
Tanzanie: l'ONU alerte sur l'"intensification de la répression"
-
Le Liban appelle l'Onu à faire pression sur Israël pour le respect du cessez-le-feu
-
JO-2026: "Que ces Jeux arrêtent les agressions et la barbarie", espère le président italien
-
Réchauffement climatique: face au déni, le chef du Giec appelle à être "très clair" sur le rôle de l'homme
-
Les vaccins anti-Covid à ARN messager ne causent aucune hausse de la mortalité, selon une étude
-
L'UE inflige une amende de 120 millions d'euros à X
-
Les prix alimentaires en baisse, reflet de l'abondance agricole mondiale
-
Erasmus, le sorcier du rugby sud-africain, prolongé jusqu'en 2031
-
Retraites et travail: la conférence sociale entre dans le vif du sujet
-
Rugby: Rassie Erasmus prolongé à la tête des Springboks jusqu'en 2031
-
Inde: ces femmes du Rajasthan qui font passer des villages de l'ombre à la lumière
-
Quatre morts dans une nouvelle frappe américaine dans le Pacifique
-
Quatre morts dans un nouvelle frappe américaine dans le Pacifique
-
F1: Un an après son éviction d'Alpine, Esteban Ocon "très content" chez Haas
-
En RDC, des quartiers submergés par les eaux "acides" de l'industrie minière
-
Budget de la sécu: "pas d'autre horizon" que de le voter, dit le gouvernement
-
Netflix en "négociations exclusives" pour racheter Warner Bros Discovery
-
MaPrimeRénov': les conseillers en rénovation énergétique craignent pour leur avenir
-
Netflix en "négociations exclusives" pour racheter Warner Bros Discovery (médias)
-
Grippe aviaire: au zoo de Paris, la campagne de vaccination bat son plein
-
En Tanzanie, tourisme au ralenti après les massacres des élections
-
Les Game Awards, "cerise sur le gâteau" pour le créateur du jeu vidéo français "Clair Obscur"
-
Voile: l'Australien Ian Thorpe engagé avec le double vainqueur de la Sydney-Hobart
-
Au Zimbabwe, tournées à vélo et données satellites pour faciliter la coexistence avec les éléphants
-
F1: Isack Hadjar semble prêt pour le défi Red Bull
-
En Géorgie, les chiens errants entre adoration et danger sanitaire
-
Conférence Travail et Retraites: premiers débats sur fond de crise budgétaire
-
Budget: le gouvernement s'engage à ne pas augmenter les franchises médicales
-
Nouvelle frappe américaine dans le Pacifique en pleine polémique sur l'opération militaire de Trump
-
"Prime à l'accouchement": petite ville cherche mamans pour sauver sa maternité
-
NBA: Hachimura au buzzer, fin d'une incroyable série pour LeBron James
-
A défaut de Nobel, Trump donne son nom à un "Institut de la paix"
-
Bill Gates alerte sur un rebond "tragique" de la mortalité infantile en raison d'une baisse des aides
-
Mondial-2026: un tirage au sort grandiose avec Trump en guest-star
-
Shein et l'Etat se confrontent au tribunal sur la suspension de la plateforme
-
Rugby: Oscar Jegou, l'atout polyvalence
-
Nouvelles discussions américano-ukrainiennes attendues en Floride
L'exécutif accélère sa rentrée mercredi à l'Elysée
Emmanuel Macron donne mercredi un coup d'accélérateur à la rentrée de l'exécutif en présidant un séminaire gouvernemental sur ses grandes priorités à l'Elysée, suivi d'un Conseil national de la refondation (CNR) le lendemain.
Le premier Conseil des ministres de rentrée, le 23 août, est déjà loin. Le président, jamais avare de nouveaux formats de consultation, a depuis réuni les chefs des partis politiques le 30 août à Saint-Denis.
Mercredi matin, le traditionnel Conseil des ministres sera suivi d'un séminaire gouvernemental destiné à dérouler la feuille de route parlementaire de la majorité "sur l'automne jusqu'au budget 2024", indique-t-on dans l'entourage du président.
Avec en ligne de mire une possible motion de censure contre le gouvernement d'Elisabeth Borne lors du vote sur le projet de loi de Finances 2024 à l'Assemblée.
Une épée de Damoclès qui pourrait bouleverser le cours d'un quinquennat déjà largement contrarié par l'absence de majorité absolue pour Emmanuel Macron, avec à la clé un risque de dissolution de l'Assemblée.
D'ici là, le chef de l'Etat se concentre sur la recherche de compromis possibles autour de ses quatre priorités, l'éducation, la santé, la planification écologique et l'ordre républicain après les émeutes urbaines du début de l'été.
Emmanuel Macron, qui considère que les 12 heures de sommet avec l'opposition à Saint-Denis sont un succès à reproduire, doit encore synthétiser ces échanges dans une lettre aux participants.
Lesquels commencent à s'impatienter. "Il y a travaillé ce week-end, c'est en cours de finalisation", assure-t-on dans son entourage, en rappelant qu'aucun collaborateur n'était présent lors de la rencontre et que donc lui-seul peut rédiger le document.
- "Pour quoi faire?" -
En attendant, "on est sur un séminaire traditionnel de rentrée, pas sur un suivi thématique de Saint-Denis", relève une source gouvernementale, contrairement à ce qu'avait annoncé initialement le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.
"Il y aura aussi une présentation par pôle ministériel des grands sujets", explique ainsi un ministre en égrenant sa propre feuille de route pour le trimestre à venir.
Autre rendez-vous, jeudi, Emmanuel Macron présidera pour la troisième fois un Conseil national de la refondation (CNR) depuis sa première édition en septembre 2022, consacré cette fois à l'éducation.
Problème, cet autre outil macronien destiné à "bâtir des consensus nationaux" en réunissant forces politiques, partenaires sociaux, représentants des entreprises et associations sera de nouveau boycotté par les oppositions et une partie des syndicats.
La CGT a annoncé mardi qu'elle ne se rendrait pas au rendez-vous, rejoignant ainsi deux autres syndicats représentatifs (Force ouvrière et CFE-CGC).
"Un CNR pour quoi faire ?", s'interroge Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, "quand dans le même temps, la Première ministre annonce qu'elle va continuer à recourir au 49.3 et que le président de la République refuse d'organiser un référendum sur les retraites".
Méconnu des citoyens, le CNR peine à s'ancrer dans le paysage politique, au point de susciter des interrogations sur son avenir.
"Ce n'est pas la fin (..) pas une deuxième naissance non plus. C'est plutôt pour faire un point sur ce qui est déjà fait", résume la source gouvernementale citée.
Un conseiller de l'exécutif préfère de son côté mettre l'accent sur les CNR locaux, plus efficaces selon lui pour identifier des projets concrets. "Dès le départ, la plénière a fait l'objet d'instrumentalisation et de postures politiques", déplore-t-il.
E.Rodriguez--AT