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Malgré un potentiel nouveau "speaker", le Congrès américain toujours dans l'impasse
Après avoir tenté pendant des semaines de trouver un nouveau président pour la Chambre des représentants, les républicains américains se sont entendus pour désigner Tom Emmer comme leur candidat au perchoir.
Mais la candidature de cet élu du Minnesota, voix de l'establishment du parti, semble déjà vouée à l'échec.
Le numéro trois des républicains à la Chambre, dont le talent pour lever des fonds est reconnu, est sorti victorieux d'une série de scrutins internes face à huit autres postulants.
Las, plus d'une vingtaine d'élus de son propre camp ont déjà indiqué qu'ils ne le soutiendraient pas lors du vote en séance plénière, alors même que les républicains ne disposent que d'une très mince majorité à la Chambre des représentants.
Les alliés de Donald Trump lui sont en effet opposés, car il est l'un des deux hommes sur les neuf candidats au perchoir à avoir voté en faveur de la certification de la victoire de Joe Biden à l'élection de 2020. Ils considèrent donc Tom Emmer comme manquant de loyauté envers l'ex-président.
- Luttes intestines -
Les enjeux pour trouver un nouveau "speaker" sont grands. Sans lui, impossible de tenir un vote sur un projet de loi; et faute de vote sur le budget, la menace d'une paralysie de l'administration fédérale à la mi-novembre est réelle.
Sans "speaker", la Chambre est également dans l'incapacité d'accéder à la demande du président Joe Biden d'envoyer une aide d'urgence à Israël et à l'Ukraine.
Près de trois semaines après la destitution de l'ancien président de la chambre basse Kevin McCarthy, les luttes intestines des républicains continuent de s'afficher au grand jour.
"C'est probablement l'une des choses les plus embarrassantes que j'ai vues", a dit le chef républicain de la commission des affaires étrangères, Michael McCaul, à ABC News dimanche.
"Parce que si nous n'avons pas de président de la Chambre, nous ne pouvons pas gouverner. Et chaque jour qui passe, nous sommes en gros fermés en tant que gouvernement", a-t-il ajouté.
La semaine dernière, le chef de la commission des Affaires judiciaires Jim Jordan, un allié de l'ex-président Donald Trump, avait semblé être sur le point de mettre fin à cette quête de plus en plus gênante pour le parti.
Il a fini par essuyer trois échecs en autant de votes. Puis les républicains lui ont retiré leur soutien, faisant savoir qu'ils se réuniraient lundi pour désigner un nouveau candidat au poste de "speaker".
- Embarrassant -
Donald Trump, qui avait appuyé Jim Jordan, a dit à la presse avant un événement de campagne dans le New Hampshire qu'il avait parlé à Tom Emmer ce week-end, mais qu'il n'envisageait pas de lui apporter son soutien.
"J'ai parlé à M. Emmer, j'ai parlé à beaucoup d'élus du Congrès. Ils m'ont appelé et ils ont tous appelé pour demander mon soutien. Et bien sûr, je dois me retenir pendant un moment. J'ai beaucoup d'amis qui examinent ça en ce moment", a-t-il dit.
Ces dysfonctionnements au sein du Parti républicain empêchent le Congrès de répondre à la demande de Joe Biden de débloquer plus de 100 milliards de dollars en fonds d'urgence, principalement de l'aide militaire pour l'Ukraine et Israël dans leurs guerres contre, respectivement, la Russie et le Hamas.
"A un moment critique où nos alliés comptent sur nous pour que nous montrions du leadership (...), les républicains de la Chambre tournent notre gouvernement en dérision et embarrassent le pays sur la scène mondiale", a dénoncé la porte-parole du Comité national démocrate, Sarafina Chitika.
Et à moins que les élus n'approuvent le budget fédéral pour 2024 d'ici le 17 novembre, l'administration fédérale sera paralysée, avec des centaines de milliers de travailleurs renvoyés temporairement chez eux sans salaire.
Ch.Campbell--AT