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Le taux de chômage monte encore au Royaume-Uni, où l'activité s'essoufle
Le taux de chômage au Royaume-Uni est encore monté pour les trois mois terminés fin juillet, reflétant une activité économique qui s’essouffle et qui a notamment eu raison de l'enseigne à bas prix en faillite Wilko.
A 4,3% pour les trois mois terminés fin juillet, le taux de chômage, est désormais "0,3 point de pourcentage plus élevé qu'avant la pandémie de coronavirus", a indiqué l'Office national des statistiques (ONS) mardi dans son rapport mensuel.
Illustration des turbulences de l'économie britannique, les magasins Wilko ont annoncé lundi mettre la clé sous la porte faute d'avoir trouvé un repreneur, victimes de l'impact de la crise du coût de la vie et de l'inflation au Royaume-Uni, ce qui se traduit par un tsunami de presque 12.500 licenciements.
"Des milliers de familles à travers le Royaume-Uni vont être touchées par cette décision terrible", a prévenu le syndicat GMB.
Les 400 magasins de la marque vont fermer - un peu plus d'une centaine de sites vont toutefois rouvrir sous d'autres marques concurrentes, sans garantie sur l'emploi.
Le chef de l'opposition travailliste Keir Starmer a dénoncé lundi soir sur X (ex-Twitter) une nouvelle "dévastatrice pour les employés et leurs familles, et un nouveau symptôme" de la gouvernance du parti conservateur au pouvoir depuis 13 ans dans le pays.
La banque britannique Barclays a de son côté annoncé mardi son intention de supprimer quelque 450 postes à travers le Royaume-Uni, invoquant un recours plus important de ses clients à ses services dématérialisés.
Selon l'ONS mardi, le nombre de personnes inactives en raison de maladies de longue durée a par ailleurs atteint un nouveau record au cours de la période de trois mois terminée fin juillet.
En parallèle, le nombre d'emplois vacants continue de baisser: le chiffre est repassé pour la première fois en deux ans sous la barre du million - ce qui reste un niveau historiquement élevé.
"Le marché du travail commence à ressentir le poids du ralentissement de l’activité, alors que l’économie britannique est confrontée à plusieurs vents contraires", indique l'économiste de KPMG Yael Selfin.
- Hausses des salaires -
La croissance britannique, qui s'est montrée résiliente en début d'année, montre des signes d'essoufflement. Le PIB a essuyé sa plus forte contraction en août depuis début 2021, l'impact de la hausse des taux d'intérêt commençant à se faire sentir, selon l'indicateur PMI Flash Composite.
Si l'inflation a nettement marqué le pas en juillet au Royaume-Uni, à 6,8% sur un an contre 7,9% en juin, elle reste la plus élevée des pays du G7.
Le pays "a connu cet été la plus forte baisse de l'emploi en dehors d'une récession. C’est le signe le plus clair à ce jour que le cycle de hausse des taux de la Banque d'Angleterre commence à refroidir le marché du travail", estime Hannah Slaughter, économiste du centre de réflexion Resolution Foundation.
Mais en parallèle, les salaires moyens hors bonus ont continué d'augmenter, enregistrant une hausse de 7,8% (hors bonus) sur un an pour la période de mai à juillet.
Les rémunérations moyennes rattrapent donc l'inflation. Une bonne nouvelle pour le pouvoir d'achat qui ne baisse plus, mais un facteur inquiétant pour la Banque d'Angleterre, qui cherche à calmer la flambée des prix.
Cette nouvelle augmentation des revenus "ne fera qu’ajouter au malaise de la Banque d’Angleterre" qui devrait "augmenter à nouveau les taux d’intérêt, de 5,25% actuellement à un sommet de 5,50%", lors de sa réunion du 21 septembre, estime Ashley Webb, de Capital Economics.
"Pour que les salaires réels augmentent de manière durable, nous devons nous en tenir à notre plan visant à réduire de moitié l'inflation", a pour sa part réagi dans un communiqué le ministre des Finances Jeremy Hunt.
R.Garcia--AT