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Frères musulmans: l'exécutif se penche sur le rapport en conseil de Défense
Un conseil de Défense et de Sécurité nationale présidé par Emmanuel Macron examine mercredi matin un rapport consacré aux frères musulmans qui met en garde contre une "menace pour la cohésion nationale" avec le développement d'un islamisme "par le bas".
Le président de la République réunira autour de lui à l'Elysée à 11h30 le chef du gouvernement mais aussi plusieurs de ses ministres en charge des Affaires étrangères, des Finances, ainsi que de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et des Sports, "trois secteurs particulièrement visés par cet entrisme par le bas", précise-t-on à l'Elysée.
A l'issue de ce conseil, des mesures seront prises "dont certaines sont communiquées" mais d'autres resteront classifiées, ajoute-t-on de même source.
Selon le document que l'AFP s'est procuré et dont le Figaro avait dévoilé les grandes lignes mardi matin, le rapport commandé à deux hauts fonctionnaires relève une "menace pour la cohésion nationale" avec le développement d'un islamisme "par le bas" et à l'échelon municipal.
Il "établit très clairement le caractère anti-républicain et subversif des Frères musulmans" et "propose des moyens pour remédier à cette menace", résume-t-on à l'Elysée.
Les travaux du conseil de Défense se veulent en droite ligne du discours des Mureaux sur le séparatisme prononcé par Emmanuel Macron en 2020, qui a débouché sur la loi sur les principes et valeurs de la République de 2021.
"L'une des vocations de ce rapport est de pouvoir sensibiliser l'Etat sur cette problématique" mais aussi "de faire connaître au grand public, aux élus locaux, la menace et comment elle procède" notamment à l'approche des élections municipales, a souligné l'Elysée.
"L'entrisme, c'est du temps long, c'est dissimulé, et c'est un discours qui est très policé de façon officielle", résume la source, en s'inquiétant aussi de "dynamiques caritatives sur le terrain".
Mais "le mouvement est présent en Europe et sa cible c'est clairement l'Europe", précise-t-on à l'Elysée, en jugeant nécessaire de "sensibiliser davantage l'Union européenne".
Pour autant, "nous sommes tous parfaitement en ligne sur le fait de dire qu'il ne faut pas faire d'amalgame" avec les musulmans car "nous luttons contre l'islamisme et ses dérives radicales", a mis en avant la source élyséenne.
Le conseil se penchera aussi sur la question des réseaux sociaux qui "constituent un vecteur pour les islamistes qui surfent sur des éléments d'actualité et remettent en cause ce que la République défend en matière de laïcité, notamment pour essayer de démontrer que l'Etat est islamophobe et pour retourner contre nous nos propres valeurs".
M.King--AT