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Liz Truss clôt un congrès des conservateurs britanniques éprouvant
Au pouvoir depuis tout juste un mois, la Première ministre britannique Liz Truss clôt mercredi un éprouvant congrès de son parti conservateur, qui a vu s'enchaîner volte-face, confusion et crise d'autorité.
Attendue à la tribune à Birmingham (centre de l'Angleterre), Liz Truss doit s'efforcer de donner de l'élan à un début de mandat chaotique, dont une bonne partie - une dizaine de jours - avait pourtant été éclipsé par le deuil de la reine Elizabeth II, décédée le 8 septembre.
"Quand il y a du changement, il y a des perturbations", doit dire la Première ministre, selon des extraits de son discours diffusés à l'avance par le parti. Si "tout le monde n'y sera pas favorable", "tout le monde en bénéficiera", doit-elle déclarer, avec des promesses de croissance économique et "d'avenir meilleur".
Invoquant invasion russe en Ukraine et répercussions de la pandémie de Covid-19, elle estime que le "défi est immense" dans "un monde incertain".
La Première ministre n'a de cesse de défendre son approche budgétaire "responsable", alors que le "mini-budget" présenté le 23 septembre a suscité une foule de critiques pour ses baisses d'impôts financées par la dette, dont le montant reste flou.
Sous le feu des critiques et la pression de sa propre majorité, le gouvernement de Liz Truss a annoncé lundi qu'il renonçait à supprimer la tranche d'imposition la plus élevée, une mesure qui cristallisait l'opposition car bénéficiant aux contribuables les plus riches, en pleine crise du coût de la vie.
"Il n'y a pas de honte pour un dirigeant à écouter", a déclaré Liz Truss sur Sky News, s'efforçant de convaincre de la pertinence des autres mesures du plan présenté le 23 septembre par son ministre des Finances Kwasi Kwarteng, à l'origine d'une dégringolade de la livre sterling sur les marchés.
- "Fenêtre d'opportunité" -
Sans avoir le temps de laisser passer les turbulences de cette volte-face, Liz Truss a vu son propre camp la mettre en garde contre toute velléité de réévaluer les prestations sociales sur la base des revenus moyens plutôt que sur l'inflation.
L'avertissement est notamment venu de la secrétaire d'Etat chargée des relations avec le Parlement, Penny Mordaunt, ancienne rivale de Liz Truss dans la course à Downing Street, et un temps donnée favorite chez les adhérents du parti pour succéder à Boris Johnson.
De quoi susciter des questions sur la discipline au sein du gouvernement et l'autorité de sa cheffe, alors que plusieurs voix se sont élevées au sein de la majorité pour rappeler à Liz Truss de ne pas trop s'éloigner du programme de Boris Johnson, qui avait valu en décembre 2019 aux conservateurs un triomphe inédit depuis Margaret Thatcher.
"Les gens donnent des interviews tout le temps, au congrès du parti, les gens parlent", a minimisé la Première ministre sur Times Radio. "L'important, c'est que nous sommes tous unis derrière le plan de croissance."
Les prochaines élections sont attendues dans moins de deux ans et l'opposition travailliste, sous l'impulsion de son chef Keir Starmer, plus centriste que son prédécesseur Jeremy Corbyn, est ressortie revigorée de son congrès fin septembre.
Un récent sondage donnait même 33 points d'avance aux travaillistes par rapport aux conservateurs, un écart inédit depuis la fin des années 1990 et l'arrivée au pouvoir de Tony Blair.
L'ancien ministre des Transports Grant Shapps, qui avait soutenu l'ex-ministre des Finances Rishi Sunak contre Mme Truss en finale, a assuré mardi qu'il existe encore une "fenêtre d'opportunité" pour que la cheffe du gouvernement réussisse malgré ses débuts difficiles.
Mais, a-t-il averti, "je ne pense pas que les membres du Parlement, conservateurs, s'ils voient les sondages continuer comme ça, resteront sans rien faire".
N.Walker--AT