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Ukraine: frappe à Kramatorsk, le chef de la sécurité limogé par le Parlement
Une frappe de missile a fait un mort mardi à Kramatorsk, grande ville de l'est de l'Ukraine que la Russie cherche à conquérir tandis qu'à Kiev le Parlement a voté le limogeage du chef de la sécurité et de la procureure générale.
Sur le terrain de la diplomatie, le président russe Vladimir Poutine se trouvait à Téhéran avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, qui fait office de médiateur dans le conflit, pour discuter d'un possible accord sur le déblocage des exportations de céréales ukrainiennes via la mer Noire.
L'accord négocié par l'intermédiaire de l'ONU, pour éviter une crise alimentaire mondiale, vise à faire sortir par la mer Noire quelque 20 millions de tonnes de céréales bloquées dans des silos ukrainiens à cause de l'offensive menée par la Russie en Ukraine depuis le 24 février.
Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell avait affirmé lundi que la reprise des exportations de céréales depuis l'Ukraine était une "question de vie ou de mort" et qu'il avait "espoir" qu'un accord soit trouvé cette semaine pour débloquer le port ukrainien d'Odessa, sur la mer Noire.
"La vie de (...) dizaines de milliers de personnes dépend de cet accord" en train d'être négocié entre la Russie, l'Ukraine, la Turquie et les Nations Unies, avait-il dit.
A Kramatorsk, un missile est tombé en fin de matinée dans un petit jardin entouré de barres d'immeubles de quatre étages, en plein centre-ville, ont constaté les journalistes de l'AFP.
Cette ville de 150.000 habitants avant la guerre, centre administratif de la partie de la région de Donetsk encore aux mains de Kiev, est située à une vingtaine de kilomètres du front et régulièrement touchée par des tirs.
Kramatorsk est devenue une cible stratégique pour la Russie, qui cherche à s'emparer de la totalité du bassin minier du Donbass, en partie contrôlé par des séparatistes prorusses depuis 2014.
"A ce stade nous avons un mort", a déclaré à l'AFP Igor Ieskov, chargé de communication à la mairie de la ville, tandis qu'un haut responsable de la police a fait état de six blessés.
Un homme grièvement blessé, la tête en sang et enveloppé dans un tapis par les voisins, gisait au sol, avant d'être emmené par les secours. "Il passait par là, dans la rue, et a été touché", a raconté une femme paniquée.
Les pompiers s'affairaient à éteindre le feu qui brûlait sur deux étages d'un des immeubles, dont toutes les vitres ont été soufflées.
Une femme légèrement blessée, la jambe en sang atteinte par des éclats de verre, recevait les premiers soins, assise sur un banc.
La Russie avait annoncé samedi avoir officiellement mis fin à la "pause opérationnelle" de son armée décrétée quelques jours plus tôt, et les bombardements ont repris avec plus d'intensité dans le Donbass.
Dans la région d'Odessa, les forces russes ont tiré sept missiles, blessant au moins six personnes dont un enfant, a annoncé mardi la présidence ukrainienne.
"Un missile a été détruit par la défense anti-aérienne. Six autres ont touché un village où plusieurs bâtiments résidentiels et d'autres structures ont été détruits", selon la présidence.
Le ministère russe de la Défense a pour sa part indiqué que des frappes sur Odessa avaient détruit un stock de munitions fournies par les Occidentaux.
- Limogeages -
Parallèlement, le Parlement ukrainien a voté mardi en faveur du limogeage du chef des services de sécurité (SBU) et de la procureure générale, proposé par le président Volodymyr Zelensky.
"Le parlement a voté pour mettre fin aux fonctions d'Iryna Venediktova au poste de procureure générale", a écrit sur Telegram le député David Arakhamia. Plusieurs autres députés ont également annoncé le limogeage du chef du SBU Ivan Bakanov.
Le renvoi de M. Bakanov, un ami d'enfance du président, a été approuvé par 265 députés contre un minimum requis de 226 et celui de Mme Venediktova, par 264 parlementaires, ont écrit sur leur chaînes Telegram les députés Oleksiï Gontcharenko et Iaroslav Jelezniak.
Lundi, M. Zelensky a encore annoncé une "révision des cadres" au sein du SBU alors qu'au moins trois hauts responsables du cette organisation avaient été soupçonnés de haute trahison ces derniers mois.
La guerre en Ukraine entrera le 24 juillet dans son sixième mois et il n'existe aucun bilan global des victimes civiles du conflit jusqu'à présent.
M.King--AT