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Le Conseil de sécurité de l'ONU dans l'expectative sur l'aide humanitaire transfrontalière à la Syrie
Le Conseil de sécurité de l'ONU est appelé à voter jeudi soir sur l'autorisation d'aide humanitaire transfrontalière à la Syrie sans l'aval de Damas, que la Russie veut bien prolonger de six mois alors que l'Occident réclame un an.
Cette autorisation, en vigueur depuis 2014, arrive à expiration dimanche, laissant encore du temps aux 15 membres du Conseil de sécurité pour se mettre d'accord.
Jeudi, quatre reports de vote se sont succédé alors que les négociations se poursuivaient en coulisses. Une recherche d'un compromis dans l'après-midi, réunissant les cinq membres permanents du Conseil (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Royaume-Uni) avec la Norvège et l'Irlande, gestionnaires du dossier, s'est soldée par un échec, selon des sources diplomatiques concordantes.
"La Russie insiste pour 6 mois seulement", a indiqué à l'AFP un ambassadeur sous couvert d'anonymat.
La résolution proposée par la Norvège et l'Irlande, deux membres non permanents, reconduit jusqu'au 10 juillet 2023 l'utilisation du point de passage de Bab al-Hawa à la frontière syro-turque, emprunté chaque mois par des centaines de camions.
Cette aide humanitaire internationale est destinée à plus de 2,4 millions de personnes dans la région d'Idleb (nord-ouest) tenue en grande partie par des groupes jihadistes et des rebelles.
Le texte réclame "à toutes les parties de garantir un accès total, sûr et sans entrave par toutes les modalités, y compris au travers des lignes de front, pour l'acheminement de l'aide humanitaire dans toutes les régions de la Syrie".
Pour Moscou, qui dispose d'un droit de veto au Conseil de sécurité et qui a considérablement fait réduire ces dernières années ce dispositif qui viole à ses yeux la souveraineté de la Syrie, l'acheminement de l'aide vers le nord-ouest du pays ne devrait s'effectuer qu'à partir de Damas via les lignes de front.
L'ONU a tenté de développer celui-ci mais le juge toujours insuffisant pour répondre aux besoins de millions de Syriens dans la région d'Idleb. Seules cinq livraisons ont été réalisées jusqu'à présent à travers les lignes de front, relève l'Organisation qui demande un maintien sur le long terme du mécanisme transfrontalier.
Après avoir laissé entendre ces derniers mois qu'elle s'opposerait à une nouvelle prolongation de l'autorisation, la Russie propose de son côté un projet concurrent à celui de la Norvège et de l'Irlande, incluant une extension de "six mois + six mois", avec une clause prévoyant une nouvelle décision du Conseil en janvier.
Une condition inacceptable pour les Occidentaux qui ne voient pas là de garantie d'une autre prolongation l'an prochain du dispositif.
- "Réhabilitation rapide" -
Pour tenter d'amadouer Moscou, les Européens avaient ces derniers jours inséré dans leur texte plusieurs amendements demandés par la Russie sur la transparence des cargaisons humanitaires, sur une possible contribution à une réhabilitation du pays et sur la nécessité de développer l'acheminement de l'aide à partir de Damas.
Jusqu'à présent, les Occidentaux - la France en tête - avaient toujours conditionné tout début d'aide à la reconstruction à une réforme politique en Syrie, laquelle reste dans les limbes.
Lors d'une réunion en juin du Conseil de sécurité sur la Syrie, une majorité de pays - dont les Etats-Unis - avaient cependant soutenu l'idée de financer des projets de "réhabilitation rapide" dans le pays.
A cet égard, le projet de texte de la Norvège et de l'Irlande "demande instamment de nouvelles initiatives internationales pour élargir les activités humanitaires en Syrie, y compris des projets de réhabilitation rapide en matière d'eau, d'assainissement, de santé, d'éducation et d'abris, entrepris par les agences humanitaires internationales et les parties concernées".
Dans son texte, la Russie réclame l'ajout du domaine de l'électricité et "d'intensifier les efforts internationaux" pour aider la Syrie.
Le projet de la Norvège et de l'Irlande réclame aussi au secrétaire général des Nations unies un rapport tous les deux mois sur l'application de la résolution, notamment sur ces projets de réhabilitation et sur l'évolution de l'acheminement de l'aide humanitaire à travers les lignes de front à partir de Damas.
Ces dernières semaines, des dizaines d'ONG et plusieurs hauts responsables de l'ONU ont fait pression sur les membres du Conseil de sécurité pour que l'autorisation transfrontalière soit à nouveau étendue pour un an.
F.Ramirez--AT