-
Dermatose: dans le Sud-Ouest, "mobilisation générale" pour "accélérer" la vaccination
-
Le Parlement européen valide deux textes clefs pour durcir la politique migratoire
-
Warner Bros Discovery rejette la contre-offre de Paramount, garde sa préférence à Netflix
-
Polluants éternels: le TFA sera aussi contrôlé dans l'eau du robinet, selon Rist
-
Tentative d'escroquerie visant TotalEnergies: jusqu'à trois ans de prison ferme requis
-
Wall Street attend l'inflation américaine avec prudence
-
Tennis: après sept ans, Alcaraz se sépare de Ferrero, son entraîneur et mentor
-
Dermatose: Savoie, Jura puis Sud-Ouest, les différentes vagues de l'épizootie
-
Dermatose: à Limoges, des agriculteurs érigent un mur de paille devant la préfecture
-
Journée d'action des artisans du bâtiment, insatisfaits de MaPrimeRénov' et de la REP
-
Le Parlement européen fait pression pour faciliter l'accès à l'IVG à travers le continent
-
La mobilisation agricole enfle dans le Sud-Ouest malgré l'appel à "l'apaisement" de Genevard
-
Mercosur: "la France s'opposerait de manière très ferme" à un éventuel "passage en force" de l'UE, dit Macron
-
Paris-Nice: rendez-vous à l'Allianz Riviera
-
Le Louvre rouvre partiellement malgré la reconduction de la grève
-
NanoXplore, l'"Astérix" contre "l'empire américain" des puces, se lance dans la défense
-
Le fils du cinéaste Rob Reiner en attente d'une comparution devant un juge
-
Dermatose: la mobilisation enfle dans le Sud-Ouest, appel à "l'apaisement" de Genevard
-
Zone euro : l'inflation ressort inchangée en novembre, à la veille de la réunion de la BCE
-
La grève au Louvre reconduite à l'unanimité, la réouverture du musée incertaine
-
Taxe carbone: l'UE aménage son dispositif pour les engrais face à la crise agricole
-
La Bourse de Paris atone, entre emploi et inflation américaine
-
Dermatose: la mobilisation enfle dans le Sud-Ouest malgré les annonces ministérielles
-
Des "dizaines de fiches" sensibles du ministère de l'Intérieur volées lors d'une attaque informatique
-
Australie: la communauté juive, bouleversée et en colère, enterre "le Rabbin de Bondi"
-
Des "dizaines de fichiers" sensibles du ministère de l'Intérieur volés lors d'une attaque informatique
-
Comment la "glace ancienne" pourrait aider les scientifiques à protéger les glaciers
-
Vieux remèdes et IA: l'OMS recherche des preuves d'efficacité de la médecine traditionnelle
-
Royaume-Uni: l'inflation ralentit plus fortement que prévu en novembre, à 3,2% sur un an
-
Attentat de Sydney: l'assaillant inculpé de terrorisme, inhumation des victimes
-
L'évolution du cyclisme: "le changement est impressionnant", souligne Guillaume Martin-Guyonnet
-
La seule Afghane du CIO lutte pour le droit des femmes dans son pays
-
Vers une consommation record de charbon en 2025, avant un début de déclin
-
Brésil: une forte réduction de peine pour Bolsonaro entre les mains du Sénat
-
Endeuillé, isolé mais libre de rêver : être jeune en Ukraine
-
La fusée Ariane 6 décolle de Kourou avec deux satellites Galileo
-
Coupe NBA: Wembanyama et les Spurs renversés par les Knicks en finale
-
En Guinée, la déchirante quête des familles des jeunes disparus de la migration
-
Pédopornographie: l'ex-numéro deux de la police néo-zélandaise condamné à la détention à domicile
-
Le fils du cinéaste Rob Reiner inculpé pour l'assassinat de ses parents
-
Coupe intercontinentale: au Qatar, le PSG en route vers de nouvelles conquêtes
-
Tirs à l'université américaine Brown: une longue vidéo du suspect diffusée
-
Washington menace l'UE de représailles si la régulation numérique européenne n'évolue pas
-
Grève au Louvre: nouvelle AG du personnel, la réouverture du musée en jeu
-
Le fils du cinéaste Rob Reiner va être inculpé pour l'assassinat de ses parents
-
Trump annonce un blocus américain au Venezuela sur les pétroliers sous sanctions
-
L'Australie commence à enterrer les victimes du massacre de la plage de Sydney
-
Mondial-2026: la Fifa annonce des billets à 60 dollars pour les supporters
-
Importations: un rapport parlementaire dénonce des contrôles "dérisoires" et des fraudes massives
-
Wall Street sceptique face à l'emploi américain
Friedrich Merz promet de soutenir Kiev pour préserver "la paix" en Allemagne
Le futur chancelier Friedrich Merz a promis lundi la poursuite du soutien à l'Ukraine pour préserver la "paix" en Allemagne même et dévoilé une partie de son gouvernement, incluant un chef de la diplomatie très critique du Kremlin.
Le conservateur de 69 ans, qui doit être élu chancelier le 6 mai par les députés, a assuré que son pays assumerait "à nouveau", après des années de retrait, "ses responsabilités de leader en Europe et avec les autres membres de l'Union européenne".
Et le soutien à Kiev fait partie des priorités.
"Le combat de l'Ukraine contre l'agression de la Russie est aussi un combat pour le maintien de la paix et la liberté dans notre pays", a insisté M. Merz devant des dirigeants de son parti CDU réunis en congrès, qui ont adopté le contrat de coalition gouvernementale récemment conclu avec les sociaux-démocrates (SPD).
Les défis sont nombreux pour cet ancien rival d'Angela Merkel, sans expérience gouvernementale, qui prendra les commandes à un moment de basculement géopolitique, avec un allié américain devenu imprévisible sous l'administration de Donald Trump.
Ce bouleversement contraint aussi bien l'Allemagne que l'Europe à dépenser davantage pour leur défense face à la menace russe.
Le chancelier désigné, dont le camp conservateur a remporté les élections législatives du 23 février, a déjà pris les devants en faisant adopter un paquet d'investissements géants de plusieurs centaines de milliards d'euros pour réarmer et moderniser le pays.
- Aide sans faille à l'Ukraine -
Lundi, il a dévoilé le noms des ministres de son camp, parmi lesquels figure Johann Wadephul, 62 ans, aux Affaires étrangères. Quasi inconnu du grand public, il devrait être un sherpa fidèle de M. Merz en matière de diplomatie, domaine sur lequel le chancelier donne traditionnellement le ton.
M. Wadephul, expert des questions de politique étrangère au Parlement, s'est illustré ces dernières années par ses prises de position très tranchées en faveur de l'aide militaire à Kiev, critiquant la pusillanimité à ses yeux du chancelier social-démocrate (SPD) sortant Olaf Scholz.
Il n'a cessé de dénoncer le refus catégorique de ce dernier de lui livrer des missiles longue portée Taurus, ce que M. Merz n'a, lui, pas exclu.
Dans un récent entretien au journal Frankfurter allgemeine Zeitung, M. Wadephul avait déclaré que Vladimir Poutine était "disruptif, agressif, affamé" de conquêtes.
Les autres ministres désignés sont également peu connus. Parmi eux, l'ancienne secrétaire d'Etat à l'Environnement et aux Transports Katherina Reiche, 51 ans, obtient l'Economie.
Ce poste, distinct en Allemagne de celui des Finances qui doit revenir à un social-démocrate, est particulièrement délicat à un moment où la première puissance européenne traverse une grave crise de son modèle industriel, frappant de plein fouet le secteur crucial de l'automobile, exacerbée par l'augmentation des droits de douane de Donald Trump.
L'économie toujours en berne après deux ans de récession alimente aussi la montée en puissance du parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD). Ce dernier a dépassé les conservateurs dans de récents sondages et représente pour Friedrich Merz une autre "menace" pour la stabilité de l'Allemagne.
- Fermeté sur les migrants -
Le bouillant Jens Spahn, ancien ministre de la Santé et connu comme M. Merz pour son opposition à la politique d'accueil généreuse des migrants d'Angela Merkel, va lui occuper le poste stratégique de chef du groupe parlementaire des conservateurs au Bundestag.
L'autre grand défi du gouvernement Merz sera justement de tenir ses promesses de campagne sur une réduction de la migration, après plusieurs attaques meurtrières ayant impliqué des étrangers et qui ont favorisé le score historique de l'AfD, arrivée deuxième aux élections.
Le poste de l'Intérieur sera occupé par Alexander Dobrindt du parti bavarois allié CSU, partisan d'une grande fermeté en la matière.
Au total, les conservateurs occuperont dix postes ministériels, leur allié social-démocrate sept, même si ce dernier a accusé le pire résultat de son histoire aux législatives.
Les membres du SPD doivent encore approuver le contrat de coalition. Le parti dévoilera le nom de ses ministres après le vote. Boris Pistorius, autre grand soutien de Kiev, devrait rester à la Défense.
W.Nelson--AT