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Les rivaux de Trump critiquent son absence au débat républicain pour 2024
Immigration, économie, santé...: les sept candidats républicains à la présidentielle américaine de 2024 ont commencé à s'affronter mercredi lors d'un nouveau débat télévisé, mais ont réservé des piques spéciales à Donald Trump, grand favori des primaires et grand absent de la soirée.
"Donald, je sais que tu nous regardes", a lancé l'ex-gouverneur du New Jersey Chris Christie en pointant son doigt vers la caméra. "Tu n'es pas là ce soir, pas à cause des sondages, pas à cause de tes inculpations, mais parce que tu as peur", a-t-il assuré.
L'ancien président a choisi de snober cette émission, étape importante de la longue route vers la Maison Blanche, en raison selon lui de sa très large avance dans les enquêtes d'opinion républicaines.
Le septuagénaire est à la place dans le Michigan, en même temps que le débat, pour courtiser l'électorat ouvrier auquel son rival démocrate, le président Joe Biden, avait tendu la main mardi.
Le 23 août, jour du premier débat, Donald Trump avait déjà joué les trouble-fête en donnant une interview sur les réseaux sociaux, volontairement à la même heure.
Dans des échanges, virant souvent à la cacophonie, les candidats se sont aussi attardés sur les questions économiques, critiquant longuement le bilan du président démocrate qu'ils essaient de déloger de la Maison Blanche.
"La politique climatique de Joe Biden est bonne pour Pékin, terrible pour Detroit", a cinglé l'ancien vice-président Mike Pence.
- Dégringolade de DeSantis -
Comme lors de la première émission, l'ancien président a écrasé le débat de son absence. Mais cette fois-ci, ses rivaux ont beaucoup moins retenu leurs coups.
"Donald Trump manque à l'appel", a taclé Ron DeSantis, qui était vu par certains conservateurs comme la relève du Parti républicain, mais dont la cote a dégringolé dans les enquêtes d'opinion.
Le gouverneur de Floride, qui s'est fait remarquer avec ses prises de positions choc sur l'avortement, les questions LGBT+ ou l'immigration, accuse désormais un retard de plus de 40 points face à Donald Trump, selon l'agrégateur de sondages RealClearPolitics.
C'est tout le paradoxe: à quatre mois des premières primaires, Donald Trump, inculpé quatre fois au pénal, continue d'écraser toute la concurrence, bénéficiant encore d'un soutien massif auprès de sa marée de supporteurs à casquettes rouges.
- Duel Trump-Biden dans le Michigan -
Le milliardaire républicain assure se projeter déjà dans un possible remake de l'élection de 2020 -- consacrant l'immense majorité de ses attaques à Joe Biden, président octogénaire candidat à sa réélection en novembre 2024.
Le dirigeant démocrate lui a grillé la priorité s'affichant, bras dessus bras dessous avec des leaders syndicaux mardi dans le Michigan, pour apporter son soutien à un piquet de grève d'ouvriers de l'automobile.
"Joe Biden prétend être le président le plus favorable aux syndicats de l'histoire. C'est absurde", a tancé Donald Trump mercredi soir depuis une usine fabriquant des pièces détachées en grande banlieue de Detroit.
Le républicain a vivement critiqué la politique environnementale de son successeur, qui promet de réindustrialiser cet ancien bastion de l'automobile grâce au développement de voitures électriques.
Le Michigan, frontalier du Canada, avait créé la surprise en élisant Donald Trump en 2016 face à Hillary Clinton. Il sera un des Etats les plus disputés de la présidentielle de 2024.
S.Jackson--AT