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Des citoyens veulent un vote populaire pour partiellement nationaliser UBS
Des citoyens suisses souhaitent lancer un vote populaire pour une nationalisation partielle des grandes banques systémiques comme UBS, après que cette dernière ait accepté en mars sous la pression des autorités de racheter Credit Suisse afin d'éviter sa faillite.
Le projet, intitulé "BANKENINITIATIVE" (Initiative bancaire), a été rapporté dimanche par l'hebdomadaire Sonntagszeitung. La Chancellerie fédérale doit d'abord procéder à l'examen préalable du texte avant que les citoyens ne se lancent dans la phase de récolte des signatures.
En Suisse, pour qu'un texte puisse être soumis au vote populaire, 100.000 signatures sont nécessaires dans un délai de 18 mois.
Sur son site internet, le groupe de citoyens qui souhaitent lancer le vote populaire indique vouloir tirer "les leçons des crises bancaires" ayant touché UBS en 2008 et Credit Suisse en 2023 et mieux protéger les contribuables ainsi que les finances de l'Etat.
"Notre initiative bancaire ne vise pas à étatiser la place financière, mais plutôt à créer un équilibre durable sur la place financière grâce à un modèle d'économie mixte pour les grandes banques d'importance systémique", telles qu'UBS, indiquent-ils.
Après avoir accepté de racheter dans l'urgence Credit Suisse pour seulement 3 milliards de francs suisses, UBS a finalement annoncé mi-août qu'elle pouvait se passer de l'aide de l’État, qui était destinée à la protéger contre de mauvaises surprises dans les comptes de son ex-rivale.
Le groupe de citoyens estime qu'UBS n'est pas seulement une grande banque d'importance systémique, mais est "de facto devenue une banque d'Etat", estimant qu'elle est devenue trop grande pour la laisser sombrer en cas de crise et que la banque n'a fait face à la reprise de Credit Suisse que grâce à des garanties d'Etat de plusieurs milliards.
Leur initiative demande que ces géants bancaires soient "gérés comme des sociétés anonymes d'économie mixte, la Confédération étant l'actionnaire majoritaire en ce qui concerne le capital-actions".
Le texte prévoit également que le Parlement garantisse par "des mesures préventives" que les grandes banques ne puissent pas transférer leur siège juridique à l'étranger.
L'homme derrière ce projet, Bernhard Schmidt, est, selon l'agence de presse suisse ATS-Keystone, sans étiquette politique et dirige une école privée.
H.Gonzales--AT