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Accusé de partialité par Trump, Paramount verse 16 millions, des démocates s'insurgent
Paramount, société mère de CBS, va verser 16 millions de dollars pour solder un contentieux judiciaire avec Donald Trump, qui accusait la chaîne d'avoir édité une interview de Kamala Harris pour la valoriser, une décision fustigée par plusieurs élus démocrates.
Cet accord est la dernière concession en date d'un grand média face aux attaques du président républicain, et intervient au moment où Paramount cherche l'approbation de l'administration Trump pour un projet de fusion avec la société de production Skydance.
Elle évite au groupe un procès consécutif à la plainte déposée par le milliardaire en octobre 2024 devant un tribunal fédéral du Texas, alors qu'il était candidat à la Maison Blanche.
Les avocats de Donald Trump réclamaient 20 milliards de dollars.
Le montant de 16 millions de dollars sera versé à la future bibliothèque présidentielle de Donald Trump et non directement au président, a fait savoir Paramount à l'AFP.
La société a aussi affirmé que l'accord ne prévoyait aucune excuse publique de sa part.
La sénatrice démocrate Elizabeth Warren a dénoncé l'accord qui voit Paramount "plier face à Donald Trump" dans sa quête d'un feu vert de l'administration du républicain à "sa fusion à plusieurs milliards de dollars" avec Skydance.
"Cela pourrait être de la corruption au vu et au su de tous", a-t-elle déclaré dans un communiqué.
La sénatrice appelle également à une "enquête complète" pour déterminer "si des lois anticorruption ont été enfreintes" avec cet accord.
Elle a annoncé qu'elle introduirait bientôt au Congrès une proposition de loi pour "restreindre la corruption à travers les dons aux bibliothèques présidentielles".
- "Perturbations" -
En pleine campagne présidentielle, Donald Trump avait assigné en justice la chaîne CBS accusant son célèbre magazine d'information "60 minutes" d'avoir modifié de façon trompeuse une interview de sa rivale démocrate Kamala Harris.
Plus précisément, il accusait CBS News, la rédaction d'information de CBS, d'avoir édité un passage de l'entretien dans lequel la candidate avait répondu de façon "incohérente" à une question sur la guerre entre Israël et le Hamas.
CBS News avait rejeté ces accusations, en expliquant notamment qu'il était courant dans la profession de sélectionner les passages à diffuser dans une interview.
Le bras de fer judiciaire entamé par Donald Trump contre CBS News a fait des vagues et provoqué le départ en avril du producteur et pilier de "60 minutes", Bill Owens. Il avait déploré des atteintes à son indépendance journalistique.
Un mois plus tard, la patronne de CBS News, Wendy McMahon, avait également remis sa démission.
"Les entreprises concluent souvent des accords pour mettre fin à un contentieux et éviter d'assumer des frais de justice imprévisibles", ainsi que de courir le risque d'un jugement défavorable, a précisé Paramount.
Une longue procédure peut aussi occasionner des "perturbations dans la bonne marche des activités" de la société concernée, a fait valoir le groupe.
Paramount s'est aussi engagé à publier le texte intégral de futures entretiens réalisés avec des candidats à la présidence des Etats-Unis.
La décision de Paramount "ne va faire que conforter Donald Trump dans ses attaques, ses actions en justice et ses manoeuvres d'intimidation envers les médias", a regretté le sénateur démocrate Bernie Sanders.
Très critique des médias traditionnels, Donald Trump a lancé des attaques judiciaires contre d'autres entreprises de presse, notamment le journal local The Des Moines Register, et fait plier ABC (groupe Disney), qui a versé 15 millions de dollars sous la menace d'un procès en diffamation.
G.P.Martin--AT